Fairfield Porter, The Mirror (1966)
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Alberti «aperçoit très bien comment le jeu diffus des couleurs et l'échelonnement même de la perspective se simplifient dans le miroir, comment ils gagnent en intelligibilité et en précision dans les "miracles de la peinture". Il donne donc le miroir pour un excellent juge du tableau lui-même: "Je ne sais comment les bons tableaux ont tant de grâce dans le miroir. Il est merveilleux de voir comme les faiblesses d'un tableaux s'y révèlent. Les objets peints d'après nature peuvent y êtres corrigés"».
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André Chastel, Art et Humanisme à Florence au Temps de Laurent le Magnifique, Paris, Presses Universitaires de France, 1982 (1.ª ed. 1959), p. 321.