segunda-feira, 8 de outubro de 2018

Espelhos I

Fairfield Porter, The Mirror (1966)
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Alberti «aperçoit très bien comment le jeu diffus des couleurs et l'échelonnement même de la perspective se simplifient dans le miroir, comment ils gagnent en intelligibilité et en précision dans les "miracles de la peinture". Il donne donc le miroir pour un excellent juge du tableau lui-même: "Je ne sais comment les bons tableaux ont tant de grâce dans le miroir. Il est merveilleux de voir comme les faiblesses d'un tableaux s'y révèlent. Les objets peints d'après nature peuvent y êtres corrigés"».
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André Chastel, Art et Humanisme à Florence au Temps de Laurent le Magnifique, Paris, Presses Universitaires de France, 1982 (1.ª ed. 1959), p. 321.

2 comentários:

LuisY disse...

Adorei o texto de André Chastel sobre os espelhos na pintura. É curioso que mesmo na fotografia, se conseguem bons resultados de usarmos um espelho na área a fotografar. Aquilo que era banal e triste, parece mágico quando é reflectido no espelho.

A cantora francesa Barbara tem uma bonita música sobre esse mundo que está dentro do espelho

Là-bas, là-bas,
De l'autre côté du miroir,
J'aimerais tant qu'on m'y porte,
Qu'on s'y voit, qu'on y passe,
Oh, oh que je voudrais que l'on m'y porte,
Avant que quelqu'un ne le casse,
Là-bas, là-bas,
De l'autre côté du miroir,

Margarida Elias disse...

LuisY - Tenho de experimentar mais os espelhos, está visto. Não conhecia essa canção, que maravilha! Gosto muito de espelhos - na arte. Bom dia!