«La référence au miroir était constante au Moyen Age pour designer l'activité intellectuelle : tout livre était un miroir (speculum). Loin de s'affaibblir, la valeur du symbole s'est enrichie à la Renaissance: pour le néo-platonisme qui identifie la lumière et l'esprit, le miroir fournit une image inépuisable de la connaissance et de la conscience. Elle a d'autant plus de prix que les données de l'optique sont considérées avec la plus grande attention».
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André Chastel, Art et Humanisme à Florence au Temps de Laurent le Magnifique, Paris, Presses Universitaires de France, 1982 (1.ª ed. 1959), p. 320.
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